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Le bouclier d'Achille / Anne-Marie Lecoq
Titre : Le bouclier d'Achille : un tableau qui bouge Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne-Marie Lecoq (1946-....), Auteur Editeur : Paris [France] : Gallimard Année de publication : 2010 Collection : art et artistes, ISSN 1158-7415 Importance : 399 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-076588-1 Prix : 30 € Note générale : Bibliogr. p. 380-399. Index Langues : Français (fre) Catégories : Boucliers -- Dans l'art Index. décimale : 6.1 Histoire de l'art - Généralités Le bouclier d'Achille : un tableau qui bouge [texte imprimé] / Anne-Marie Lecoq (1946-....), Auteur . - Paris (France) : Gallimard, 2010 . - 399 p. ; 22 cm. - (art et artistes, ISSN 1158-7415) .
ISBN : 978-2-07-076588-1 : 30 €
Bibliogr. p. 380-399. Index
Langues : Français (fre)
Catégories : Boucliers -- Dans l'art Index. décimale : 6.1 Histoire de l'art - Généralités Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Donation 1496 6.0 LECO-10 Livre Salle de lecture Histoire de l'art Exclu du prêt L'ordre sauvage / Laurence Bertrand Dorléac
Titre : L'ordre sauvage : violence, dépense et sacré dans l'art des années 1950-1960 Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurence Bertrand Dorléac, Auteur Editeur : Paris [France] : Gallimard Année de publication : 2004 Collection : art et artistes, ISSN 1158-7415 Importance : 408 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-077072-4 Prix : 25 € Note générale : Notes bibliogr. Index Langues : Français (fre) Catégories : Arts -- Thèmes, motifs -- 1945-1970
Guerre -- Dans l'art
Sadomasochisme -- Dans l'art
Violence -- Dans l'artIndex. décimale : 8.2 GUER Ecrit sur l'art et la guerre Résumé : Bien avant les événements révolutionnaires de 1968, les artistes qui ont hérité de l'enseignement corrosif du dadaïsme et de Marcel Duchamp reconduisent la fête à leur façon et l'on sent vite l'excitation ambiguë de leur carnaval fondé autant sur la vie que sur la mort. Ils veulent revenir aux origines, réveiller les puissances, réinventer les rituels, provoquer, détruire, sacrifier. Leur violence en art est néoprimitive et fatalement beaucoup plus forte et répandue dans les pays qui ont pris fait et cause en faveur de l'Allemagne nazie, moins remis encore que les autres de la brutalité de la guerre et d'autant plus secoués qu'ils sont entraînés au même moment dans une modernisation à marche forcée.
Du néodadaïsme japonais à l'actionnisme viennois et du chamanisme de Beuys en Allemagne au Nouveau Réalisme ou aux premiers happenings en France : bien des signes annoncent le changement des temps et jusque dans l'autopunition de l'auteur dont le statut héroïque est radicalement remis en question.
Plusieurs années après la guerre qui avait atrocement condamné au dressage les corps et les esprits, la délivrance n'est pas la même à Ashiya, à Paris, à Vienne, à Berlin ou à Milan. Au-delà des frontières et des traditions, il y a pourtant des liens troublants qui avouent la culpabilité mais aussi la volonté intraitable de sortir du monde tel qu'il est, dans la violence et la transgression d'un théâtre bloqué où la puissance ne se retourne jamais.L'ordre sauvage : violence, dépense et sacré dans l'art des années 1950-1960 [texte imprimé] / Laurence Bertrand Dorléac, Auteur . - Paris (France) : Gallimard, 2004 . - 408 p. ; 22 cm. - (art et artistes, ISSN 1158-7415) .
ISBN : 978-2-07-077072-4 : 25 €
Notes bibliogr. Index
Langues : Français (fre)
Catégories : Arts -- Thèmes, motifs -- 1945-1970
Guerre -- Dans l'art
Sadomasochisme -- Dans l'art
Violence -- Dans l'artIndex. décimale : 8.2 GUER Ecrit sur l'art et la guerre Résumé : Bien avant les événements révolutionnaires de 1968, les artistes qui ont hérité de l'enseignement corrosif du dadaïsme et de Marcel Duchamp reconduisent la fête à leur façon et l'on sent vite l'excitation ambiguë de leur carnaval fondé autant sur la vie que sur la mort. Ils veulent revenir aux origines, réveiller les puissances, réinventer les rituels, provoquer, détruire, sacrifier. Leur violence en art est néoprimitive et fatalement beaucoup plus forte et répandue dans les pays qui ont pris fait et cause en faveur de l'Allemagne nazie, moins remis encore que les autres de la brutalité de la guerre et d'autant plus secoués qu'ils sont entraînés au même moment dans une modernisation à marche forcée.
Du néodadaïsme japonais à l'actionnisme viennois et du chamanisme de Beuys en Allemagne au Nouveau Réalisme ou aux premiers happenings en France : bien des signes annoncent le changement des temps et jusque dans l'autopunition de l'auteur dont le statut héroïque est radicalement remis en question.
Plusieurs années après la guerre qui avait atrocement condamné au dressage les corps et les esprits, la délivrance n'est pas la même à Ashiya, à Paris, à Vienne, à Berlin ou à Milan. Au-delà des frontières et des traditions, il y a pourtant des liens troublants qui avouent la culpabilité mais aussi la volonté intraitable de sortir du monde tel qu'il est, dans la violence et la transgression d'un théâtre bloqué où la puissance ne se retourne jamais.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Donation 1671 8.2 GUER-04 Livre Salle de lecture Histoire de l'art Exclu du prêt Yves Klein / Denys Riout
Titre : Yves Klein : manifester l'immatériel Type de document : texte imprimé Auteurs : Denys Riout (1943-....), Auteur Editeur : Paris [France] : Gallimard Année de publication : 2004 Collection : art et artistes, ISSN 1158-7415 Importance : 200 p. Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-07-074418-3 Prix : 22 € Note générale : Bibliogr. et filmogr. p. 181-188. Index Langues : Français (fre) Index. décimale : 2. Artistes : monographies, écrits d'artistes et écrits sur les artistes Résumé : En avril 1958, Yves Klein, connu pour ses monochromes et son attachement au bleu, présentait une exposition dans laquelle nul tableau, nulle sculpture, nul objet n'étaient visibles. Cette manifestation, bientôt nommée «exposition du vide», a fait date. Or ce titre qui n'était pas dû à l'artiste, rend son projet à peu près incompréhensible. Klein expliqua pourtant à de nombreuses reprises ses intentions. Grâce à cette «immatérialisation du tableau», il espérait «créer une ambiance, un climat pictural invisible mais présent» capable de manifester, par son rayonnement, l'essence même de la peinture : la «sensibilité picturale immatérielle».
Depuis sa première tentative d'une présentation de la «sensibilité picturale invisible», en 1957, jusqu'à sa mort, survenue en 1962, à l'âge de trente-quatre ans, Yves Klein n'a jamais cessé d'approfondir et d'affiner son propos. Parallèlement, il imagina d'utiliser le corps de jeunes femmes comme «pinceaux vivants». Apposant l'empreinte de leur chair sur des supports disposés à cet effet, elles réalisèrent des peintures parfaitement visibles : des «Anthropométries». Loin de relever d'une aspiration contradictoire, ces deux modalités d'existence de son œuvre s'appuient sur une articulation qui est au cœur du Mystère chrétien fondamental, l'Incarnation. Telle est du moins l'intuition développée dans cet essai.Yves Klein : manifester l'immatériel [texte imprimé] / Denys Riout (1943-....), Auteur . - Paris (France) : Gallimard, 2004 . - 200 p. : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 22 cm. - (art et artistes, ISSN 1158-7415) .
ISBN : 2-07-074418-3 : 22 €
Bibliogr. et filmogr. p. 181-188. Index
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 2. Artistes : monographies, écrits d'artistes et écrits sur les artistes Résumé : En avril 1958, Yves Klein, connu pour ses monochromes et son attachement au bleu, présentait une exposition dans laquelle nul tableau, nulle sculpture, nul objet n'étaient visibles. Cette manifestation, bientôt nommée «exposition du vide», a fait date. Or ce titre qui n'était pas dû à l'artiste, rend son projet à peu près incompréhensible. Klein expliqua pourtant à de nombreuses reprises ses intentions. Grâce à cette «immatérialisation du tableau», il espérait «créer une ambiance, un climat pictural invisible mais présent» capable de manifester, par son rayonnement, l'essence même de la peinture : la «sensibilité picturale immatérielle».
Depuis sa première tentative d'une présentation de la «sensibilité picturale invisible», en 1957, jusqu'à sa mort, survenue en 1962, à l'âge de trente-quatre ans, Yves Klein n'a jamais cessé d'approfondir et d'affiner son propos. Parallèlement, il imagina d'utiliser le corps de jeunes femmes comme «pinceaux vivants». Apposant l'empreinte de leur chair sur des supports disposés à cet effet, elles réalisèrent des peintures parfaitement visibles : des «Anthropométries». Loin de relever d'une aspiration contradictoire, ces deux modalités d'existence de son œuvre s'appuient sur une articulation qui est au cœur du Mystère chrétien fondamental, l'Incarnation. Telle est du moins l'intuition développée dans cet essai.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Donation 1942 2. KLEI-04 Livre Salle de lecture Artistes Exclu du prêt